Éditeur : Intervalles (2016)
Résumé
Le pitch : Le Paris des années 1990 est le décor d’un amour improbable entre un psychiatre et sa jeune patiente. Lui : septuagénaire survivant des camps nazis, personnage loufoque et attachant, bourré de contradictions. Elle : trentenaire, née derrière le Rideau de fer, grave et drôle. Un amour paradoxal et cocasse qui permet de revisiter les mémoires des régimes totalitaires.
Mais c’est dans le style, dans l’écriture elle-même que réside le vrai sujet du livre, dans l’enchaînement des mots, avec l’apparition de mots-clés qui écrivent l’histoire parallèle – la naissance d’une langue autre, d’une écriture-code.
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« L’écriture est solide et charnelle, sans concession à la douleur, elle embarque. » Jeanne Thiriet, « Pleine vie »
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« Magiquement bien écrit « Le muscle du silence » semble n’être faits que d’essentiel : le désir, la mort et entre les deux, l’identité. » Yaël Hirsch, Toutelaculture.com
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« L’expression est curieuse : «Le muscle du silence.» …ça ne nous parle pas d’emblée, mais on comprend aisément quand elle l’évoque la première fois. De l’autre côté du Mur, quand elle était enfant, puis adolescente, on apprenait à se taire. » Claire Devarrieux, « Libération »
http://next.liberation.fr/livres/2016/06/17/psy-causes_1460245
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« Ce que j’apprécie beaucoup chez vous – puisqu’on vous lit depuis un certain nombre d’années, maintenant – c’est que vous avez une écriture très organique, qui dissèque ses sujets. » Jessica Nelson, « Au Fil de la Nuit », TF1
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« Née en Bulgarie et désormais française, Rouja Lazarova écrit sombre et sec. Une patiente et son psychanalyste, deux survivants dans un Paris érotique, propice aux passions. » Olivier Barrot, « Un Livre, un Jour », France 3
http://www.france3.fr/emissions/un-livre-un-jour/le-muscle-du-silence-rouja-lazarova_482359
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En Bulgarie, interview dans « Capital Light »
http://www.capital.bg/light/neshta/razkaz/2012/11/08/1942734_organut_na_mulchanieto/